Vous venez peut-être d’adopter un félin, ou alors vous commencez tout juste à vous pencher sérieusement sur la question de la couverture santé de votre chat adulte. Quoi qu’il en soit, ce petit trésor moustachu, tout comme 14 millions d’autres en France, est un membre de votre foyer à part entière. Passer en revue les différentes mutuelles relève donc des tâches administratives au programme pour cet adorable compagnon, tout comme vous le feriez pour vous-même.

Lisez la suite pour comprendre les enjeux cachés d’une telle démarche… et le bonheur sans prix d’une bonne session de ronrons, en toute sérénité.

Une mutuelle santé dès que possible

Prévoir pour mieux profiter

Souscrire à une assurance, c’est partir du bon pied dès le début de votre vie commune avec matou. Cela vous donne l’assurance qu’il sera pris en charge immédiatement lorsqu’il en aura besoin. Si d’aventure il montrait un appétit modéré pendant quelque temps, vous dirigerez toute votre attention sur lui plutôt que sur votre budget mensuel en cas d’un imprévu lié aux dépenses vétérinaires. Il en va de même pour les cas plus graves nécessitant l’intervention du vétérinaire.

Une question de calcul

Vous l’avez bien compris, accueillir un animal de compagnie, cela signifie être responsable de son bien-être. Lorsque tout va bien, vous pouvez vous demander à quoi il sert de l’assurer. Après tout, votre dernier félin a vécu sa longue et belle vie de matou sans souci majeur. Pourquoi donc commencer maintenant ? Tout simplement pour le cas où il lui arriverait quelque chose qui ne rentre pas dans vos frais.

Informez-vous sur les honoraires pratiqués par votre vétérinaire et faites le calcul. Leurs tarifs sont inégaux, cependant les sommes minimum peuvent souvent être qualifiées d’astronomiques. Une consultation en urgence pour 70 euros, une opération pour fracture s’élevant à 1000 euros… la liste ne fait que commencer. Quid des soins chroniques s’accumulant au fil des mois et des prises en charge éventuelles pour un court séjour en clinique vétérinaire ? Tout ceci a un coût, qui peut rapidement dépasser le plafond que vous vous étiez fixé quant aux dépenses liées à Mistigri.

Suivre les recommandations d’organismes spécialisés

La Fédération féline française encourage vivement à faire le pas et protéger votre félin des éventuels aléas de la vie qui pourraient vous toucher, lui et votre portefeuille. Suivez le conseil n°8 et vous dormirez sur vos deux oreilles lorsque votre vagabond épris de liberté fait sa ronde de nuit. En cela, les pays scandinaves nous montrent l’exemple à suivre, avec plus de la moitié de la population féline assurée.

Une assurance qui s’adapte à vos attentes

Les chats de race concernés

Selon votre situation, choisissez la formule qui vous correspond. Pour les heureux propriétaires d’un sacré de Birmanie conscients des risques accrus de diabète pour cette race, vous songez sûrement à une couverture solide qui couvre tous les soins et consultations. Vous avez bien raison, tout comme vous visez juste si vous abritez un compagnon poilu inscrit au registre des animaux de race. Ceux-ci sont généralement plus enclins à développer diverses affections au cours de leur vie. Il est primordial dans ce cas de recourir à une assurance.

À chaque situation sa formule

Jeunes étudiants amis des bêtes, chapeau bas pour votre prévenance concernant votre animal. Vous êtes à la bonne adresse et sachez que vous pouvez contracter une assurance sans vous ruiner pour autant.

Vous souhaitez voir cela par vous-même ? Nous vous invitons à consulter cette page pour vous faire votre propre idée à ce sujet.

Une fois votre félin assuré, vous pourrez changer de formule si vous pensez avoir fait un choix trop ou trop peu ambitieux à l’origine. Votre assureur est garant de votre quiétude lorsqu’il s’agit du bien-être de votre chat, et ceci jusqu’à la cérémonie d’adieu, également prise en charge sur demande. Ce sont des thèmes peu abordés mais non moins pertinents.

Votre assureur comme partenaire

Plus encore, la couverture santé de votre félin vous permet d’obtenir des renseignements à jour et une écoute qui ne sont pas forcément toujours de mise dans un cabinet vétérinaire surchargé. On ne le répète pas assez souvent, mais il fait bon d’être épaulé par des professionnels dans la durée. Que ce soit une alerte tiques à l’approche de l’été ou un billet d’information sur les traitement anti-puces, vous serez toujours à la page pour prendre soin de votre petite boule de poils.

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